De la Côte d’Azur à l’Italie, les paysages côtiers n’ont aucun secret pour Florian Gruet. Le photographe de Roquebrune-Cap-Martin est passionné par la mer depuis ses 15 ans. Épris de surf et stand-up paddle, c’est tout naturellement qu’il s’est tourné vers les vagues.
Depuis maintenant 3 ans, Florian s’est totalement immergé dans la photographie. Il a testé beaucoup de choses, la macro, l’astrophotographie, et l’argentique. Notez que son Mamiya M645 ne le quitte jamais.
Florian Gruet se jette à l’eau pour photographier les paysages côtiers
Armé de sa housse Dicapac étanche dans lequel est soigneusement rangé son Canon 700D équipé d’un objectif Tamron 17-50 f/2,8, sans oublier la crème solaire, Florian affronte les vagues pour réaliser ses photos.
La photographie de paysages aquatiques, c’est lui qui en parle le mieux :
J’ai toujours été attiré par les formes que l’eau est capable de générer grâce au mouvement et au vent. Il a fallu que je trouve un moyen d’aller dans l’eau avec mon appareil photo et je suis tombé sur internet sur ses housses étanches pour reflex. Ça a été une vraie révélation, j’ai tout de suite adoré ! Grâce à mes passions, je sais où sont les vagues selon le vent et la houle qui arrivent sur la côte. Ce qui me permet de trouver assez rapidement et sans trop de soucis des sujets à prendre en photo, que ce soit mes amis surfeurs ou alors des vagues plus ou moins grosses, certaines ne dépassent pas les 40 cm de haut !
Il faut être bien préparé selon les endroits où sont les vagues. Rester dans l’eau plusieurs heures peut être très fatiguant pour les plus grosses vagues. Quant aux petites vagues qui cassent sur des fonds de pas plus de 20 cm de profondeur, les genouillères sont obligatoires pour ne pas s’écorcher les genoux sur les roches !
Découvrez le travail de Florian Gruet sur son site et son Facebook ! – Source. grainedephotographe