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Anne Hidalgo soi-disant accusée à tort, elle prévoit une attaque en justice
La preuve par Capital : Anne Hidalgo utilisait un emploi fictif
Des documents sont en possession du mensuel capital et permettent d’affirmer que de 2001 à 2003, Anne Hidalgo reçoit un salaire de la part du ministère du Travail sans vraiment y travailler. Elle y avait un poste pendant un court moment durant le conflit des greffiers en 2000 suite à une mise en fonction au cabinet de Marylise Le branchu.
Après la confirmation d’un ancien membre du cabinet, elle était partie pour mener sa campagne municipale. Elle est élue première adjointe à la mairie de Paris en mars 2001.
En avril 2002, elle reprend alors un poste à la direction régionale du travail et elle reçoit un salaire du ministère sans y travailler jusqu’en 2003.
Dès 2014 Capital a des doutes
Un journaliste a trouvé qu’il y a eu un versement salarial de 3040 € par mois et des gratifications de 1000 à 2000 € jusqu’au début 2003. Après des investigations menées par le syndicat SUD-Travail, il a été confirmé qu’Anne Hidalgo reçoit plus de 21 000 € pendant sept mois après avoir travaillé avec la ministre de la Justice en 2000 à part les pourboires.
Anne Hidalgo se défend
Après l’accusation du mensuel Capital, la mairie de Paris renvoie aussi tôt une réponse officielle qui contre toute accusation à son égard. De 1997 à 2002, elle confirme qu’elle était en fonction au cabinet du ministre du Travail avant de prendre du service auprès de Marylise Le branchu. En mars 2001, elle était choisie pour devenir la première adjointe de la mairie. Elle avait bénéficié d’un congé maternité après avoir accouché son troisième enfant.
Après une période de repos, elle a demandé un détachement auprès du ministère du Travail car elle était déjà adjointe à la mairie. Maintenant Hidalgo a affirmé qu’elle envisage des poursuites en justice.