La princesse Mako renonce à son titre et à sa famille en épousant un roturier

En faisant le choix de se marier avec un roturier, la princesse Mako, petite fille de l’empereur Akihito et fils du prince Fumihito d’Akashino, renonce à jamais à son titre et devient une simple citoyenne japonaise. Fait rarissime, cette coutume jugée trop sexiste est propre au Pays du Soleil Levant.

Une love story sans précédent

Par amour, la princesse Mako d’Akishino a renoncé à son titre et à sa vie auprès de sa famille. La petite fille de l’empereur du Japon Akihito a tenu une conférence de presse dimanche 3 septembre durant laquelle les deux futurs mariés ont annoncé leur souhait et leur choix de vivre ensemble.

Mako, âgé de 25 ans, est la fille du second fils de l’empereur. Elle a fait ses études supérieures dans plusieurs universités dont la dernière, l’université de Leicester, lui a permis d’obtenir un diplôme en musicologie. La princesse Mako d’Akishino est très populaire auprès des jeunes de son âge et surtout sur le Net où elle a été élevée au rang de Net Idol en 2004.

Quant à son futur époux, Kei Komuro, également 25 ans, est un ancien de l’International Tokyo’s Christian University. Les deux amoureux se sont d’ailleurs rencontrés dans cette université en 2012 alors que la princesse suivait des cours d’arts. Le jeune homme qui est un roturier a déjà fait sa demande en mariage il y a plus de 3 ans. Si l’annonce aurait dû être se faire en juillet, les futurs mariés ont tenu à changer de date par respect aux victimes de l’inondation survenue dans la région du sud-ouest du Japon. Pour ce qui est de la célébration du mariage, il aura lieu l’année prochaine en été.

Très amoureux , Kei et Mako rêvent de mener une vie de famille dans la simplicité. Lors du communiqué, la princesse avoue même avoir eu conscience dès son enfance de devoir quitter le cocon royal le jour de son mariage.


Article précédentPeople : Benjamin Biolay, Amel Bent, Garou, Louane…tous vont chanter Johnny Hallyday dans un album
Article suivantÉvènement : Pan-Pot sur le tarmac du Musée de l’Air et de l’Espace du Bourget